Le ralliement est aussi limité par les incertitudes de la politique économique du gouvernement, par la persistance de la crise du coton et par le début d'une récession au début de l'année 1866[112]. Le Second Empire, Primaire En 1862, Napoléon III envoie des soldats au Mexique pour forcer cette nation indépendante depuis 1821 à payer ses dettes. En conséquence de cet abandon, le rapprochement avec l'Empereur François-Joseph est définitivement compromis[161]. Tokugawa subit des pressions intérieures et extérieures, de la part tant des partisans du rejet des étrangers qui vont se rapprocher progressivement de l’autorité impériale et pencheront pour la restitution du pouvoir à l'empereur, que des puissances étrangères qui forcent l’ouverture au commerce extérieur et hormis l’Empire français, favorisent la montée en puissance de l’empereur japonais. Le 4 septembre 1870, la Troisième République est proclamée. Cette conviction basée sur le principe des nationalités le conduit non seulement à apporter en Russie son soutien à la révolte polonaise contre le Tsar en 1863[171] mais aussi à adopter une neutralité bienveillante lors de l'affrontement décisif entre la Prusse et l'Autriche. L'Impératrice est obligée de fuir le palais des Tuileries avec l'aide des ambassadeurs d'Autriche et d'Italie avant de trouver refuge chez son dentiste de nationalité américaine. Une telle politique exigeait pour la sécurité des crédits hypothécaires que soient publiées, non seulement les hypothèques, mais aussi les aliénations d’immeubles et la constitution de droits réels immobiliers, ou les baux de plus de dix-huit ans ; ce sera l'objet de la loi du 23 mars 1855[63] qui rétablit la publication des actes et jugements translatifs ou constitutifs de droits réels immobiliers. À son arrivée au pouvoir, Napoléon III avait hérité d'un empire colonial modeste comprenant la Martinique, la Guadeloupe, la Guyane, La Réunion, des comptoirs en Inde, Saint-Pierre-et-Miquelon, Mayotte et ses dépendances ainsi que quelques autres îles notamment en Polynésie[138]. Un nouveau corps expéditionnaire comprenant 8 000 Français et 12 000 Britanniques est alors envoyé en Chine en décembre 1858. La nouvelle légitimité républicaine exige alors que tous les mythes sur lesquels reposaient le précédent pouvoir, telle l'image idéalisée du « sauveur de la nation », soient abattus et discrédités[203] alors que tout nom relatif à la toponymie impériale est globalement éliminée de la voie publique, à l'exception des batailles remportées durant le régime[204]. Sous l'impulsion de Napoléon III et de son ministre des travaux publics, Pierre Magne, dont la politique est caractérisée par un engagement financier de l'État dans les entreprises ferroviaires, le pays rattrape et dépasse sa rivale d'outre-Manche pour atteindre près de 20 000 km de voies ferrées en 1870, sur lesquelles circulent annuellement plus de 110 000 000 voyageurs et 45 000 000 tonnes de marchandises[55]. Sous le Second Empire, c’est par le biais de Gustave Duchesne de Bellecourt, ambassadeur de France au Japon (1859-1864) que les rapports entre les deux pays vont s’officialiser le 9 octobre 1858 autour du Traité de Paix, d’Amitié et de Commerce, ce traité prévoyant notamment l’ouverture de cinq ports au commerce et aux sujets français (d'Edo, de Kōbe, de Nagasaki, de Niigata et de Yokohama). Le 14 juin 1860, la réunion de la Savoie à la France devient effectif sous la forme de deux départements : la Savoie et la Haute-Savoie. Pour Jean-Jacques Becker, il n'y a pas à « réhabiliter le Second Empire » mais à l'analyser sans lui jeter d'opprobre parce que « l'histoire est ce qu'elle est [et qu'elle] n'a pas besoin ni d'être condamnée ni d'être réhabilitée »[226]. De son côté, la Russie souhaite que le conflit reste localement isolé et n'ait pas de conséquences sur la Pologne tandis que l'Autriche, en dépit des bonnes relations entre les deux empereurs, n'est pas prête et demande un délai avant de s'associer à une éventuelle victoire des Français[181]. Mais quand la concession, même limitée, a été faite pour la liberté d'une nation, elle pouvait difficilement être refusée pour les non moins légitimes aspirations des autres. La tentative du comte Beust de ressusciter, avec le soutien du gouvernement autrichien, le projet d'une résolution sur la base d'un statu quo avec désarmement réciproque, est refusée par Napoléon III sur le conseil du colonel Stoffel, son attaché militaire à Berlin, qui indique que la Prusse n'accepterait pas le désarmement. La guerre de Crimée représente paradoxalement en premier lieu une victoire diplomatique car l'alliance avec l'Angleterre brise celle conçue autrefois entre cette dernière, l'Autriche et la Russie contre Napoléon Ier. Le corps de Nana est symbolique : "il est la métaphore du corps social enfiévré qui meurt d’une passion mortifère, sans transfiguration." « Napoléon III a longtemps été victime d'une légende noire, d'une caricature forgée par ses nombreux ennemis politiques, les républicains, les royalistes, les libéraux… » pour reprendre les mots du professeur d'histoire contemporaine Guy Antonetti[186]. Nous avons d'immenses territoires incultes à défricher, des routes à ouvrir, des ports à creuser, des rivières à rendre navigables, des canaux à terminer, notre réseau de chemin de fer à compléter. Il envisage à l'époque la création d'une entité arabe centrée sur Damas et dirigée par l'émir Abd el-Kader, ancien chef de la rébellion algérienne qu'il avait fait libérer en 1852 et qui vivait depuis en Syrie. Enjoy the videos and music you love, upload original content, and share it all with friends, family, and the world on YouTube. Il n'ose pas contrarier l'opinion majoritaire pro-guerre, exprimée au sein du gouvernement et au parlement, y compris chez les républicains[180] (malgré les avertissements lucides de Thiers et de Gambetta), décidée à en découdre avec la Prusse. Cette libéralisation a des impacts sur la vie politique et sur les institutions du régime. Au début des années 1860, l'attachement de Napoléon III au principe des nationalités le pousse à ne pas s'opposer à l'éventualité d'une unification allemande, remettant ainsi en cause une politique menée depuis Richelieu et le traité de Westphalie (1648)[161]. Ce dernier sera au côté du saint-simonien Ismaÿl Urbain le grand inspirateur de la politique arabophile de l'Empereur et notamment de sa politique algérienne. C'est en vain qu'après la révolution parlementaire du 2 janvier 1870, le comte Daru ressuscite, par l'intermédiaire de Lord Clarendon, le plan du comte Beust de désarmement après la bataille de Sadowa (Königgratz). Retrouvez tout ce que vous devez savoir sur le livre Napoléon III et le Second Empire (330 pages) : résumé, couverture, notes et critiques des membres Kifim. Par la capitulation de la bataille de Sedan, l'Empire perdit son dernier soutien, l'armée. Le Théâtre du Châtelet (n°4), le théâtre lyrique (n°5), le Théâtre de la Gaîté lyrique (n°13) Cinq nouveaux théâtres sont construits sous le Second Empire. Paris est désormais réorganisé en vingt arrondissements[80] et 80 quartiers[81]. Fait prisonnier à Santiago de Querétaro, il est exécuté le 19 juin 1867[154]. L e second Empire (1852 - 1870) Les chapitres que vous trouverez ci-dessous vous permettront d'en savoir plus sur Napoléon III, dernier souverain a avoir régné en France. Des conquêtes, oui : les conquêtes de la conciliation, de la religion et de la morale. Néanmoins, la liberté des réunions électorales est reconnue[45]. La ville absorbe onze communes en totalité (Belleville, Grenelle, Vaugirard, La Villette) ou en partie (Auteuil, Passy, Batignolles-Monceau, Bercy, La Chapelle, Charonne, Montmartre), ainsi que treize portions de communes[80]. Le Second Empire a apporté à la France 18 ans de stabilité politique et de prospérité économique. Par ailleurs, la politique étrangère hasardeuse a entamé une bonne partie de la confiance que le Second Empire avait capitalisé jusque-là. La France a connu une restauration de la monarchie , puis une brève aventure républicaine entre 1848 et 1852. En fait, alors que la monarchie et la république ont clairement leurs partisans, le succès du bonapartisme apparaît d'abord comme une sorte d’identification de l'électorat à un homme qui se réclame à la fois de 1789 et de la gloire de son oncle avant de devenir une idéologie et une pratique qui emprunte des éléments à la fois à la droite monarchiste et cléricale qu'à la gauche républicaine et démocrate-socialiste. Mais l'émeute se termine par un échec. Pour sceller cet engagement mutuel, Jérôme-Napoléon, un cousin de l’Empereur, doit épouser Clothilde, fille de Victor-Emmanuel II de Savoie[131]. • Dans un premier temps, Napoléon III réduit l'opposition politique à l'impuissance. Avec la liberté de la presse, les journaux se multiplient, notamment ceux favorables aux républicains. Le fonctionnement de l'État tend alors à se rapprocher de celui d'une monarchie constitutionnelle[36]. • Enfin, le système bancaire français connaît un développement remarquable sous le Second Empire. La presse était assujettie à un système de « cautionnement », sous forme d'argent, déposé à titre de garantie de bonne conduite, et d'« avertissements », c'est-à-dire de requêtes par les autorités de cesser la publication de certains articles, sous la menace de la suspension ou de la suppression, tandis que les livres étaient sujets à la censure. En fin de compte, l'Empire colonial français dont la superficie était inférieure à 300 000 km2 en 1851 verra celle-ci dépasser 1 000 000 km2 en 1870[148]. Pour Pierre Milza, « l'année terrible [1870] a fortement traumatisé les contemporains, peut-être autant que le fera la débâcle de 1940 » ce qui explique également, en sus du 2 décembre, le « long discrédit » dont souffre longtemps l'image de Napoléon III[202]. Même si le mécanisme gouvernemental était quasiment le même sous le Second Empire que sous le Premier Empire, ses principes fondateurs étaient différents. Le 23 mars 1869, le Conseil d’État refuse de valider le projet de suppression du livret ouvrier, une demande récurrente de Napoléon III[120],[121]. C'est le Shôgun Yoshinobu Tokugawa qui règne alors sur le Japon ; il appartient à une dynastie (1603-1867) ayant su établir et préserver 250 ans de paix[164]. Je ne te conseille pas donc de l'utiliser pour traiter le livre. Il débute le 18 mai 1804 (sénatus-consulte proclamant Napoléon Bonaparte « empereur des Français ») et s'achève en avril 1814 (abdication de Napoléon et départ pour l'île d'Elbe). Nous avons tous nos grands ports de l'Ouest à rapprocher du continent américain par la rapidité de ces communications qui nous manquent encore. Le Second Empire reste fondamentalement lié au 2 décembre et à la capitulation de Sedan. Ratifiée et promulguée par Napoléon III, la loi du 25 mai 1864 reconnaît pour la première fois le droit de grève en France[109] du moment qu'il ne porte pas atteinte à la liberté du travail et s'exerce paisiblement[110]. En septembre 1867, lors du congrès de Lausanne, sous l'influence des partisans de Marx venus en nombre[116] et des « éléments radicaux » de plus en plus nombreux[115], l'AIT proclame que « l'émancipation sociale des travailleurs devait s'accompagner d'une émancipation politique »[116] et ce « en complète rupture avec l'esprit du mutuellisme proudhonien et avec le manifeste des soixante »[117], même si la ligne des partisans de Proudhon s'impose finalement de justesse[117]. Privé du soutien des catholiques, que sa politique en faveur de la réunification italienne inquiète, et de celui du patronat et des industriels, ulcérés par son traité de libre-échange conclu en 1860 avec la Grande-Bretagne, Napoléon III, déçu par les élites, recherche l'appui de nouveaux soutiens dans les masses populaires, notamment les ouvriers[105]. Les élections législatives de mai 1869 donnent lieu à des combats de rue, ce qui ne s'était pas vu depuis plus de 15 ans. -Le second empire de Napoléon III de 1852 à 1870 ... RS1 - Savoir rédiger : le résumé et la synthèse Devoir 2 : Le corps épanoui (Histoire de la vie privée, 1987, Antoine Prost) Résumé 1 / Les mots-clés Le mot-clé principal du texte est « le corps ». Le 8 juillet, elle est déclarée dissoute bien que non effective dans les faits à la suite de la déclaration de guerre. Ses succès militaires et la faiblesse de sa diplomatie ont renforcé à son égard l'hostilité de l'Autriche et de la Prusse alors que l'Italie, qui lui doit beaucoup, reste un État faible. Mais même si l'opposition représentée par Thiers était davantage constitutionnelle que dynastique, il y avait une autre opposition irréconciliable, celle des républicains amnistiés ou exilés volontairement, dont Victor Hugo était le porte-voix le plus éloquent. De nombreux artistes tels Eugène Delacroix, Gustave Flaubert, Prosper Mérimée mais aussi des personnalités du monde scientifique comme Louis Pasteur participent notamment aux séries, des fêtes données pendant toute une semaine au palais de Compiègne par le couple impérial[96]. La défense de l'Empire ottoman contre la Russie est aussi une excellente occasion pour lui de faire oublier les visées impérialistes de Napoléon Ier et de sortir Paris de son isolement international. L'empereur appuie néanmoins le vœu de Tolain sur le droit de coalition qui est relayé au parlement par Darimon et le duc de Morny. L'historien Maurice Agulhon note que « l’histoire économique et culturelle » du Second Empire se caractérise par « une période prospère et brillante »[51]. Pour la première fois de son histoire, un plan général de la ville est dressé ainsi qu'un relevé topographique. Plus de 19 000 immeubles insalubres comprenant 120 000 logements auront été abattus et remplacés par 30 000 bâtiments nouveaux fournissant 215 300 logements[84] auxquels s'ajoutent de nombreux nouveaux monuments publics et édifices[85], le nouvel Hôtel-Dieu, des théâtres (Le Châtelet), des lycées, les halles de Baltard ou de nombreux lieux de culte (église Saint-Augustin, église Saint-François-Xavier…). La guerre de Crimée (1854-1856), marquée notamment par le siège de Sébastopol, va ainsi permettre à Napoléon III de jeter les bases de sa politique extérieure et de rétablir la France sur la scène européenne. Néanmoins, « l'instrumentalisation de l'ancien souverain persistait malgré l'affirmation d'une histoire positiviste et scientifique »[210]. L'Empereur en est conscient, lequel déclare un jour : « Quel gouvernement que le mien ! Dans ce conflit, la France avait été officiellement neutre. Condamné à mort, Orsini écrit à Napoléon III que « les sentiments de sympathie de [Sa] Majesté ne sont pas pour [lui] un mince réconfort au moment de mourir ». Le Paris transformé par le Baron Haussmann sera ainsi d'abord le Paris saint-simonien imaginé par le prince-président[71] dont beaucoup d'aspects figuraient dans les phalanstères de Charles Fourier et dans l'Icarie d'Étienne Cabet[72]. Napoléon III prend lui-même la tête de l'armée. Le nouveau régime politique sera donc plébiscitaire et non parlementaire. Par ailleurs, afin que votre lecture soit la plus complète possible, je vous invite à jeter un coup d'oeil aux autres sections d'Histoire-fr.com ! La masse monétaire française passe de 3,9 milliards de francs or en 1845 à 8,6 milliards de francs en 1870[58], grâce à la bonne conjoncture mondiale découlant de l'intense création monétaire[59] permise par la ruée vers l'or en Californie (1848) et la ruée vers l'or au Victoria (1851). Bien que tous deux personnellement favorables à la paix et à l'organisation d'un congrès pour régler le différend, Ollivier et Napoléon III, qui ont finalement obtenu de leur ambassadeur la version exacte de ce qui s'était passé à Ems, se laissent dépasser par les partisans de la guerre dont l'Impératrice Eugénie mais aussi de ceux qui veulent une revanche sur l'Empire libéral[177]. visiteurs, après inscription. La politique italienne de Napoléon III lui a cependant aussi aliéné les catholiques français ultramontains, car l'unité de l'Italie du Nord a mis les États pontificaux en péril. Après la bataille de Las Cumbres suivie notamment du siège de Puebla, la ville de Mexico, capitale du pays, est prise le 7 juin 1863. ainsi que la modernisation de la flotte et l'essor du commerce maritime par l'équipement des grands ports, notamment celui de Marseille[56]. Ollivier constitue alors un gouvernement d'hommes nouveaux en associant bonapartistes libéraux (centre droit) et orléanistes ralliés à l'Empire libéral (centre gauche), mais en excluant les bonapartistes autoritaires (droite) et les républicains (gauche). proposer des articles et participer à tous les forums. Les concessions accordées par la Constitution de 1862 et dans les années qui suivirent accélèrent la cassure entre les bonapartistes autoritaires et les bonapartistes pragmatiques tout en restant insuffisantes pour les opposants au Second Empire. Nombreux sont ceux qui parlent alors d'un miracle économique. La crise est résolue par le deuxième traité de Londres selon lequel la France renonce à ses prétentions sur le Luxembourg, en laisse la souveraineté au roi des Pays-Bas, tandis que la Prusse démobilise sa garnison et démantèle ses fortifications autant que le roi des Pays-Bas le jugera utile. Ainsi, à la suite de la déclaration de guerre entre la Russie et l’Empire ottoman le 4 octobre 1853, la France, voulant renforcer son influence en Égypte, et le Royaume-Uni, voulant protéger ses positions en Inde, s'allient aux Turcs et, le 27 mars 1854, déclarent à leur tour la guerre aux Russes dont l'ambition est de contrôler les détroits de la mer Noire à la Méditerranée. Ces décisions et la prolongation du mandat présidentiel à 10 ans sont approuvées par plébiscite les 21 et 22 novembre 1852 dans un contexte de répression des résistances républicaines et de censure des journaux opposés au coup de force[7]. Cette libéralisation a des impacts sur la vie politique et sur les institutions du régime. Le Code civil est rebaptisé Code Napoléon tandis que le 15 août devient le jour de la célébration de la Saint-Napoléon, premier modèle réussi en France de fête nationale populaire[14]. Finalement, le Second Empire s'effondre et la III e République est proclamée en septembre 1870. Au sénat, seul Patrice de Mac Mahon s'y opposa tandis que le Conseil d'État n'approuve le texte que de justesse, par 31 voix contre 27[32]. Napoléon III entend aussi récolter les fruits de son attitude conciliante vis-à-vis de la Prusse. Depuis 1815, la France est reléguée diplomatiquement aux pays de second rang. Napoléon III proclame le Second Empire le 2 décembre 1852, date anniversaire du sacre de Napoléon I er (en 1804), de l'éclatante victoire d'Austerlitz (en 1805) et … La crise luxembourgeoise a ridiculisé la diplomatie impériale. Adolphe Thiers en est le premier président et c’est le maréchal de Mac-Mahon qui lui succède en 1873. ...il devait sûrement être le dernier, mon (...), Bon, cet évènement ne concerne que peu de personnes ; CM2 Dolomieu: Le Second Empire. La situation sociale sous le Second Empire évolue dans le cadre d'une période de développement économique important, notamment dans le domaine industriel et dans celui des voies de communication.