Le SS Nomadic en route vers le RMS Olympic à l'arrière plan, Le Nomadic de retour à Belfast fin 2006 - Ses superstructures lui avaient été retiré quand il fut transformé en restaurant sur la Seine, le Nomadic en cale sèche à Belfast pour sa restauration, Photographie du Nomadic en face du Titanic Museum lors de mon voyage à Belfast ( Avril 2013 ). En effet, si avant 1930, le nombre de passagers dépassait le millions, seulement 460 000 répondent présent pour la traversée de l'Atlantique. Ils ne reprennent jamais, et la quille est finalement démantelée pour que son acier soit utilisé dans la construction d'autres navires. Il est le sister-ship des infortunés Titanic et Britannic. Ainsi, à partir de l'année suivante, la conférence de l'Atlantique Nord reconnaît l'apparition de nouvelles classes, la « Tourist Third Class » (troisième classe touriste) et la « classe cabine ». -----> Comme prévu, après mon retour à Belfast en Avril 2014, le SS Nomadic est enfin restauré. À partir des années 1910, la White Star ne commande plus de cargos, ses paquebots pouvant souvent transporter quantité de marchandises dans leurs cales. Dès cette époque, Pilkington et Wilson insistent sur la sécurité de leurs navires lorsqu'ils s'adressent à la presse. Elle continue à mettre en service de nouveaux paquebots, délaissant la vitesse au profit de la taille et du confort, avec la construction des Big Four et surtout des navires de la classe Olympic. Le départ de Kylsant en 1931 laisse son empire dans un état de délabrement avancé. Tandis que les voiliers de la North Western Shipping Co. disparaissent progressivement, la compagnie se dote de cargos d'un nouveau type, destinés au transport de bétail vivant[52]. C'est à ce moment que la Conférence de l'Atlantique Nord est créée pour réguler les tarifs et les traversées en fonction de la demande. Les choses évoluent également au sein de la direction de la compagnie. L'idée n'aboutit pas et Ismay meurt en 1937 sans avoir pu faire plus[148]. La Cunard doit stopper la construction de son super paquebot Queen Mary, et la White Star renonce finalement par manque de financement a poursuivre la construction de l'Oceanic troisième du nom, dont la quille est pourtant déja posée ( photo ci-dessous ). Parti du port le 19 janvier 1854, le Tayleur se révèle difficile à manier, et son équipage peu compétent[6]. Avec une flotte enfin digne de ce nom, la White Star peut enfin assurer un service hebdomadaire entre Liverpool et New-York. Si elle se centre principalement sur l'exploitation de paquebots sur la ligne transatlantique, elle possède également un certain nombre de paquebots mixtes desservant d'autres points du globe, notamment l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Le Cymric connaît un sort similaire le 9 mai 1916 alors qu'il ne transportait que des marchandises[109]. D'autres navires du même type, conçus avant tout pour transporter des marchandises mais pouvant éventuellement les remplacer par des émigrants en cas de besoin, sont commandés par la compagnie dans les années 1880 pour son service à destination de la Nouvelle-Zélande, notamment le Coptic, le premier Arabic, le premier Ionic[170]... Avec la classe Jubilee et la classe Athenic, entre 1899 et 1903, la compagnie se dote d'autres paquebots-mixtes particulièrement performants et populaires, toujours à destination de la Nouvelle-Zélande, mais aussi de l'Australie. Ce projet est rapidement approuvé[58]. Le Majestic et le Teutonic seront les derniers navires de la compagnie a conquerir le Ruban Bleu. L'impact du naufrage du Titanic sur le trafic ne doit en effet pas être surestimé, car les paquebots restent alors le seul moyen de transport sur l'Atlantique. Alors que le conflit progresse, les navires de la compagnie sont également réquisitionnés afin de transporter des troupes à travers la Méditerranée puis l'Atlantique. Les caractéristiques et les aménagements de ces navires sont cependant inconnus[160]. Pour ce faire, il rachète en 1928 les parts de Sir John Ellerman, actionnaire minoritaire de la Shaw, Savill & Albion Line, pour 994 000 livres. À l'exception de l'Adriatic, les Big Four sont successivement porteurs du titre de plus gros paquebot jamais construit, de même que l'Olympic, et le Titanic. Afin de conclure l'affaire, Morgan propose aux actionnaires de la compagnie de leur payer dix fois la valeur des bénéfices engendrés par l'entreprise en 1900, une très bonne année[82]. Le Britannic est finalement lancé le 26 février 1914 pour une mise en service d'ici fin septembre de la même année. Le paquebot retrouve cependant rapidement la confiance des passagers[101]. Ainsi, si le naufrage du Titanic bouleverse l'opinion et entraîne l'éviction du président de la compagnie, Joseph Bruce Ismay, sa survie étant jugée honteuse par une partie de la presse, la compagnie dans son ensemble n'est pas blâmée sur le long terme. Dans la nuit du 1er avril, par mer agitée, le paquebot heurte des rochers et commence à sombrer. Cet accident renforce la confiance des concepteurs envers leurs navires, qui les considèrent comme étant les meilleurs canot de sauvetages. Cela pose un problème de taille à la compagnie, les navires n'ayant ni les mêmes vitesse, ni les mêmes capacités : la régularité du service transatlantique en est fortement pénalisée[167]. Inquiet, Chambers quitte à son tour la direction pour être remplacé par John Cunningham, mais les affaires ne s'arrangent pas pour autant, et le Sirius doit être vendu avant même d'avoir pu être exploité[15]. Lancé le 14 janvier 1899, ce paquebot est le plus grand du monde avec ses 214,6 mètres ( il dépasse en taille le Great Eastern et ses 211 mètres, mais pas en tonnage ) et le restera jusqu'en 1901. À terme, la classe touriste remplace la deuxième classe et permet à des gens moins favorisés de voyager dans de bonnes conditions. L'annonce de la construction de l'Oceanic laisse cependant bien vite la place à la déception. Il est même le seul bâtiment civil à avoir éperonné et coulé un sous-marin allemand. En 1909, la White Star récupère une partie des activités de la Dominion Line, autre compagnie de l'IMM desservant le Canada. Cet accord intervient le 30 décembre 1933. Le fait que 25 passagers américains se soient trouvés à bord contribue, à l'instar du naufrage du Lusitania, à pousser l'opinion américaine vers l'entrée en guerre[108]. Un débat règne pour savoir sur quelle ligne comptait s'imposer Ismay au lancement de la compagnie. Un nouveau paquebot, le Britannic, entre par ailleurs en service en 1930. David Alexandre Winter, Leon Kleerekoper de son vrai nom, est né en 1943 à Amsterdam, aux Pays-Bas. Malgré cela, les débuts sont laborieux, et le navire, ainsi que ses jumeaux progressivement entrés en service, peinent à attirer des passagers et sont sérieusement distancés par leurs concurrents plus anciens. Qu'est devenu Alexandre, le beau gosse de la Star Ac' 2 ?, qu'est devenu thierry hazard , pourquocnewsphone est devenu les insus , Lorsqu'il est mis en service en 1911, l'Olympic apporte entière satisfaction à la compagnie et rencontre immédiatement le succès[95]. En 1939, l'Oceanic Steam Navigation Company est officiellement dissoute, tandis que la White Star Line Limited disparaît, criblée de dettes. Cette initiative d'affrètement se révèle profitable, l'Oceanic restant sur la ligne San Francisco - Hong Kong durant vingt ans, jusqu'en 1895[45]. La compagnie étant incapable de rembourser sa dette, ses navires sur cette ligne sont cédés à une nouvelle compagnie, la Aberdeen and Commonwealth Line Ltd, en 1933. Les deux flottes sont cependant bien trop importantes, et de nombreux navires sont envoyés à la casse de part et d'autre. Pour sa part, Joseph Bruce Ismay tente, vingt ans après son éviction, de participer au sauvetage de l'entreprise en proposant de créer avec l'accord du gouvernement une nouvelle compagnie qui exploiterait et ferait construire d'autres navires similaires au Britannic et au Georgic afin de se rentabiliser. Si l'Atlantic est rapidement effacé des publicités de la White Star Line, il n'est pas pour autant oublié. Avec les années, la taille des paquebots et leur vitesse a évolué, au fil des innovations … Ainsi équipée, la compagnie tente de profiter des flux d'après-guerre, notamment en conduisant des émigrants entre l'Allemagne et le Canada à bord du Vedic et du Poland, par la suite remplacés par le Canopic et le Pittsburgh (autre navire temporairement transféré de l'American Line), puis par l'Arabic[125]. Cette action fait suite au rachat, pour près de deux millions de livres, de la Commonwealth Line. L'une des comédiennes principales, Julie Caignault, fête aujourd'hui ses 47 ans. En 1947, la Cunard offre 2 £ pour chaque part de 1 £ de la compagnie ne lui appartenant pas. En 1923, également, la White Star et sa rivale la Cunard Line passent un accord pour alterner leurs départs durant l'hiver, afin d'utiliser moins de navires durant cette saison moins rentable, et propice aux refontes[127]. Thomas Ismay est si satisfait de ses quatre nouveaux navires de classe Oceanic qu'il commande deux sister-ships supplémentaires : le Celtic et l'Adriatic ( idem que les photos présentées ci-dessus ). Le mauretania à la casse...la fin est proche. Le financier espère en effet obtenir le monopole de la ligne de l'Atlantique Nord en rachetant plusieurs compagnies maritimes, et en passant des accords avec d'autres comme les allemandes HAPAG et le Norddeutscher Lloyd. Trois autres navires sur le même modèle suivent, en 1903, 1904 et 1907, le Cedric, le Baltic et l'Adriatic, tous plus imposants que le précédent[77]. Le 27 août 1870 est lancé le premier navire de la compagnie, l'Oceanic, et les premières publicités suivent bientôt[25]. En 1902, le financier americain John Pierpont Morgan rachète l’Oceanic Steam Navigation Company ( dont la White Star Line fait partie ) et l'intègre à l’International Mercantile Marine Co ( IMM ) dont Ismay devient le PDG. En 1867, l'entreprise doit à la Royal Bank de Liverpool la somme, à l'époque astronomique, de 527 000 £. Il s'agit du dernier navire construit pour la compagnie encore existant[157]. Lola, la fille du chanteur Renaud que le public connaît à travers la douce mélodie de Morgan de toi, fêtera ses 35 ans au mois d'août. L'Oceanic est le dernier navire qui fut lancé de son vivant. Le succès et les économies de carburant réalisées par les quatre paquebots poussent la compagnie à persévérer dans sa doctrine[165]. 1845 - John Pilkington et Henry Threlfall Wilson, deux jeunes hommes ayant débuté dans le secteur de la démolition de navires fondent, à Liverpool, une petite compagnie de navigation: la White Star Line.